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cours céréales
Les Agrin@utes: le Forum de l'Agriculture Francophone. :: RÉGLEMENTATION, GESTION :: GESTION, COURS, COMMERCIALISATION
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cours céréales
Rappel du premier message :
je vends pas ce que j'ai pas encore semé ( surtout de l'orge de pts dans des terres humides) mais 190 pour de l'irina, ça questionne .
incidence des inondations sur la sole OP ? trop tôt pour évaluer
je vends pas ce que j'ai pas encore semé ( surtout de l'orge de pts dans des terres humides) mais 190 pour de l'irina, ça questionne .
incidence des inondations sur la sole OP ? trop tôt pour évaluer
jack77- Agrinaute hors compétition
- Age : 58
Re: cours céréales
pratiquement soldé tout aussi la semaine dernière
reste juste 50 T de blé à déboucler ( mai 18)
reste juste 50 T de blé à déboucler ( mai 18)
jack77- Agrinaute hors compétition
- Age : 58
Re: cours céréales
et ton colza ?
vidé la cellule de colza ce matin ,surpris des tx d'huile jusque 48 %!!!!!
vidé la cellule de colza ce matin ,surpris des tx d'huile jusque 48 %!!!!!
grabouille- Agrinaute hors compétition
- Age : 101
Re: cours céréales
débouclé semaine dernière aussi , en négatif, mais moindre mal, enfin par rapport à aujourd'hui ...
jack77- Agrinaute hors compétition
- Age : 58
Re: cours céréales
J'ai engagé il y a longtemps 30 % de blé dur pour 2018 à 220 €/t pour juillet - aout avec un maxi de 30 % en mitadin et 13 % de protéine, .... a suivreJd31 a écrit:Cette semaine la coop achète le bd 200€/t pour récolté 2018. Les silos sont encore plein de la récolte 2017 et le Canada exporte tant qu'il peut... j'ai peur qu'on est un an d'avance quand arrivera la récolte 2018.... j'ai bien envie d'engager une partie. Et vous les producteurs de blé dur???
Pierre31- Agrinaute hors compétition
- Age : 49
Re: cours céréales
J'ai craqué en colza ce midi
Il me restait quand même 75 %...
Bon depuis ça revire au vert...
Il me restait quand même 75 %...
Bon depuis ça revire au vert...

tof- Agrinaute hors compétition
- Age : 53
Re: cours céréales
t'as bien fait ! à 18 h tout est dans le vert !

jack77- Agrinaute hors compétition
- Age : 58
Re: cours céréales
Agritel :
Orge
Le marché de l’orge reste globalement tendu en Europe tant sur l’orge fourragère que la brassicole alors que les semis de printemps en France sont en retard. Du côté des chargements, c’est un nouveau bateau de 3 300 t d’orge de brasserie qui est attendu à Rouen à destination de l’Allemagne. En effet, les problèmes qualitatifs sur les orges de brasserie des pays du Nord lors de la dernière récolte engendrent de nouveaux flux d’affaires.
Orge
Le marché de l’orge reste globalement tendu en Europe tant sur l’orge fourragère que la brassicole alors que les semis de printemps en France sont en retard. Du côté des chargements, c’est un nouveau bateau de 3 300 t d’orge de brasserie qui est attendu à Rouen à destination de l’Allemagne. En effet, les problèmes qualitatifs sur les orges de brasserie des pays du Nord lors de la dernière récolte engendrent de nouveaux flux d’affaires.
Re: cours céréales
jack77 a écrit:débouclé semaine dernière aussi , en négatif, mais moindre mal, enfin par rapport à aujourd'hui ...
+1

bic86- Agrinaute d'or
- Age : 46
Re: cours céréales
ca demarre fort dans le rouge aujourd'hui

grabouille- Agrinaute hors compétition
- Age : 101
Re: cours céréales
Source ODA il y a 8 jours. No panic
Publié au début de la dégringolade, à 1 heure près.
Pas de Cocorico, mais nos précédentes analyses semblent se vérifier, alimentées par quelques petits événements climatiques qui concernent la prochaine campagne...
Par Renaud de Kerpoisson | Publié le 2 mars 2018 17:33
Nous vous avons expliqué lors des Journées ODA de janvier dernier que les bilans mondiaux de céréales seraient mis en tension par une très bonne demande en céréales et tourteaux de la part de l’industrie de l’alimentation animale, dans la lignée de ce qui s’était passé en 2016/2017.
Jusqu’à la moisson 2017, malgré de multiples analyses baissières de nos confrères - la majorité des papiers que nous lisions faisaient référence à des stocks mondiaux de blé sans précédent, ne prenant pas en compte la non disponibilité des 120 MT de stocks chinois - les prix agricoles avaient commencé leur remontée en mai-juin 2017. La récolte russe pléthorique, à laquelle nous ne nous attendions pas et sur laquelle le marché s’est focalisé depuis la moisson a ramené le marché dans une tendance baissière en Europe, pour des raisons monétaires, et faiblement haussière ailleurs dans le monde.
Reprenons les points principaux de notre analyse :
La croissance économique mondiale est soutenue et particulièrement forte pour l’ensemble de l’Asie du Sud Est depuis deux ans. Nous considérions en janvier dernier qu’elle génèrerait, comme l’an passé, une bonne demande de produits à forte valeur ajoutée dans cette zone, notamment de produits carnés, puisque leur consommation y reste sur des niveaux très inférieurs à ceux des pays développés.
Cette demande devait soutenir la remontée des prix des productions agricoles et principalement celle des céréales, parce que les niveaux de production ne pourraient pas augmenter du fait principalement :
de prix trop bas pour stimuler les agriculteurs,
de conditions de semis assez mauvaises dans une bonne partie de l’hémisphère nord,
de prévisions de disponibilités exportables chez les 7 grands exportateurs plus réduites pour 2018 (et de stocks à juin 2019 comparables à ceux de 2007),
de positions vendeuses importantes chez les fonds d’investissement qu’il leur serait difficile d’augmenter.
En Europe, il était d’autre part à considérer que les céréales qui avaient baissé en euro (mais pas en dollar), ne pouvaient accentuer leur baisse du fait des vieux mécanismes d’intervention réactivés (taxes sur les importations de maïs importés en dessous de 157€/T CIF Rotterdam). Ainsi, le prix du maïs soutenu par ce mécanisme faisait office de prix plancher pour le complexe fourrager. Nous avions également soulevé le risque lié à la logistique russe et l’impact potentiel sur le marché européen.
Du côté de la protéine, nous pensions que la bonne demande de tourteaux allait entraîner une baisse de l’approvisionnement du marché à moyen terme. Nous nous attendions néanmoins à une augmentation des surfaces de soja (culture plus rentable pour les agriculteurs américains dans les conditions de marché observées), permettant de répondre à la demande de tourteaux mais créant un surplus d’huile qui allait impacter le prix de nos colzas en Europe (dans un environnement politique sur les biocarburants peu favorable et bien incertain).
Que s’est-il passé sur les sojas depuis 2 mois ?
- La situation climatique en Argentine, que nous avions soulevée, ne s’est pas arrangée et le marché parle maintenant d’une production de 45 MT pour le soja. Soit 10 MT de moins qu’il y a un mois.
- 10 MT de moins en Argentine en soja, c’est 2 MT de moins en huile disponible dans le marché. Cela tombe bien car c’était à peu près le niveau d’excédent dans les bilans.
- Les Farmers argentins, qui connaissent des baisses de taxes à l’exportation régulières et une dévaluation permanente de leur devise (forte actuellement), qui s’inquiètent de leur prochaine récolte et qui voient les prix monter, ne vendent plus. Rien ne les incite à vendre.
- De ce fait, la trituration tourne en Argentine au ralenti, faute de trouver des graines en quantité suffisante (c’est habituellement le premier exportateur de tourteaux dans le monde). Il y a moins de protéines disponibles. La demande s’exprime donc sur les USA. Les prix ont monté de plus de 25% sur les tourteaux à Chicago depuis janvier.
Que s’est-il passé sur les céréales depuis 2 mois ?
- Les marchés physiques en portuaire, en particulier en blé, ont accentué leur mouvement de hausse (notamment en Russie) ; que se passe-t-il là-bas ?
- La logistique russe a été parfaite, bien supérieure à ce que nous attendions. Ce qui est certain, c’est qu’il faut maintenant aller chercher des marchandises beaucoup plus loin, donc sur des niveaux de coûts logistiques plus importants, du fait des distances et du temps de transit qui augmente sensiblement.
- Le prix des blés américains, sur la base d’estimations de rendements plus faibles en 2018 aux USA, ont monté fortement. Le marché s’inquiète de conditions catastrophiques sur les blés hard du fait de la sécheresse. Rien n'est joué car il peut encore pleuvoir, mais si proche de la sortie d’hiver, le marché s’est décidé à payer une prime de risque et de mettre les blés US hors compétitivité sur le marché international pour le moment.
- Les fonds ont commencé à racheter les positions vendeuses ; ils sont même en train de passer « long », c’est-à-dire acheteur net.
- En maïs, les consommateurs s’inquiètent maintenant de la situation soja qui pourrait faire perdre des surfaces en maïs aux USA, des fortes pertes de production en Argentine, des conséquences de retards de semis au Brésil sur la principale récolte (Safrina). Pour regagner des surfaces sur le soja, les prix du maïs vont devoir monter maintenant.
- Le CIC, une source de référence internationale, qui nous parlait de stocks de blé record dans le monde il y a encore deux mois, prend maintenant en compte la situation des stocks chinois et s’inquiète également pour la première fois du niveau des stocks des principaux exportateurs.
Deux autres points à surveiller :
L'Inde : le marché ne parle pas de l’Inde, mais nous pensons qu’il y a également maintenant de gros risques sur la production indienne de blé et que l’Inde devra de nouveau importer plus de 10 MT l’an prochain. Restez très prudent sur les déclarations du gouvernement indien, comme d’habitude.
La parité €/$ : pas beaucoup d’idées sur ce que va faire la parité €/$ ; quand on parle de hausse des taux aux USA, on est en droit de penser que le dollar va s’apprécier. Il a fait tout le contraire depuis un an et c’est ce qui a engendré une baisse des prix sur les blés cotés en euro depuis 8 mois. Prudence donc. Cela justifie d’autant les stratégies d’option, tant que les prix de ces produits financiers restent bon marché.
En conclusion :
Gardez en tête que les stocks des grands exportateurs sont comparables à ceux de 2007, comme nous vous l’avons montré il y a quelques mois. Nous pensons que les prochains jours vont être très importants sur les marchés et qu’un suivi de la météo nord, sud-américaine et indienne est impératif. Clairement, la psychologie du marché a changé.
Nous maintenons nos recommandations de tirer parti des excellentes bases actuelles, qui reflètent la demande sur les marchés des céréales, en vendant le physique et de rester exposé à la hausse en achetant des options qui restent très bon marché.
Les marchés sont bas. Ils ont en conséquence un fort potentiel de hausse. Notre opinion est de prendre des options sur des échéances proches (mai 18), pour investir moins dans cette période très compliquée pour les céréaliers et pour profiter de l’appréciation des spreads lors de mouvements haussiers. Il sera toujours possible en avril de reprendre des positions si les marchés ont monté ou s’ils nous semblent encore avoir un potentiel de hausse.
Publié au début de la dégringolade, à 1 heure près.
Pas de Cocorico, mais nos précédentes analyses semblent se vérifier, alimentées par quelques petits événements climatiques qui concernent la prochaine campagne...
Par Renaud de Kerpoisson | Publié le 2 mars 2018 17:33
Nous vous avons expliqué lors des Journées ODA de janvier dernier que les bilans mondiaux de céréales seraient mis en tension par une très bonne demande en céréales et tourteaux de la part de l’industrie de l’alimentation animale, dans la lignée de ce qui s’était passé en 2016/2017.
Jusqu’à la moisson 2017, malgré de multiples analyses baissières de nos confrères - la majorité des papiers que nous lisions faisaient référence à des stocks mondiaux de blé sans précédent, ne prenant pas en compte la non disponibilité des 120 MT de stocks chinois - les prix agricoles avaient commencé leur remontée en mai-juin 2017. La récolte russe pléthorique, à laquelle nous ne nous attendions pas et sur laquelle le marché s’est focalisé depuis la moisson a ramené le marché dans une tendance baissière en Europe, pour des raisons monétaires, et faiblement haussière ailleurs dans le monde.
Reprenons les points principaux de notre analyse :
La croissance économique mondiale est soutenue et particulièrement forte pour l’ensemble de l’Asie du Sud Est depuis deux ans. Nous considérions en janvier dernier qu’elle génèrerait, comme l’an passé, une bonne demande de produits à forte valeur ajoutée dans cette zone, notamment de produits carnés, puisque leur consommation y reste sur des niveaux très inférieurs à ceux des pays développés.
Cette demande devait soutenir la remontée des prix des productions agricoles et principalement celle des céréales, parce que les niveaux de production ne pourraient pas augmenter du fait principalement :
de prix trop bas pour stimuler les agriculteurs,
de conditions de semis assez mauvaises dans une bonne partie de l’hémisphère nord,
de prévisions de disponibilités exportables chez les 7 grands exportateurs plus réduites pour 2018 (et de stocks à juin 2019 comparables à ceux de 2007),
de positions vendeuses importantes chez les fonds d’investissement qu’il leur serait difficile d’augmenter.
En Europe, il était d’autre part à considérer que les céréales qui avaient baissé en euro (mais pas en dollar), ne pouvaient accentuer leur baisse du fait des vieux mécanismes d’intervention réactivés (taxes sur les importations de maïs importés en dessous de 157€/T CIF Rotterdam). Ainsi, le prix du maïs soutenu par ce mécanisme faisait office de prix plancher pour le complexe fourrager. Nous avions également soulevé le risque lié à la logistique russe et l’impact potentiel sur le marché européen.
Du côté de la protéine, nous pensions que la bonne demande de tourteaux allait entraîner une baisse de l’approvisionnement du marché à moyen terme. Nous nous attendions néanmoins à une augmentation des surfaces de soja (culture plus rentable pour les agriculteurs américains dans les conditions de marché observées), permettant de répondre à la demande de tourteaux mais créant un surplus d’huile qui allait impacter le prix de nos colzas en Europe (dans un environnement politique sur les biocarburants peu favorable et bien incertain).
Que s’est-il passé sur les sojas depuis 2 mois ?
- La situation climatique en Argentine, que nous avions soulevée, ne s’est pas arrangée et le marché parle maintenant d’une production de 45 MT pour le soja. Soit 10 MT de moins qu’il y a un mois.
- 10 MT de moins en Argentine en soja, c’est 2 MT de moins en huile disponible dans le marché. Cela tombe bien car c’était à peu près le niveau d’excédent dans les bilans.
- Les Farmers argentins, qui connaissent des baisses de taxes à l’exportation régulières et une dévaluation permanente de leur devise (forte actuellement), qui s’inquiètent de leur prochaine récolte et qui voient les prix monter, ne vendent plus. Rien ne les incite à vendre.
- De ce fait, la trituration tourne en Argentine au ralenti, faute de trouver des graines en quantité suffisante (c’est habituellement le premier exportateur de tourteaux dans le monde). Il y a moins de protéines disponibles. La demande s’exprime donc sur les USA. Les prix ont monté de plus de 25% sur les tourteaux à Chicago depuis janvier.
Que s’est-il passé sur les céréales depuis 2 mois ?
- Les marchés physiques en portuaire, en particulier en blé, ont accentué leur mouvement de hausse (notamment en Russie) ; que se passe-t-il là-bas ?
- La logistique russe a été parfaite, bien supérieure à ce que nous attendions. Ce qui est certain, c’est qu’il faut maintenant aller chercher des marchandises beaucoup plus loin, donc sur des niveaux de coûts logistiques plus importants, du fait des distances et du temps de transit qui augmente sensiblement.
- Le prix des blés américains, sur la base d’estimations de rendements plus faibles en 2018 aux USA, ont monté fortement. Le marché s’inquiète de conditions catastrophiques sur les blés hard du fait de la sécheresse. Rien n'est joué car il peut encore pleuvoir, mais si proche de la sortie d’hiver, le marché s’est décidé à payer une prime de risque et de mettre les blés US hors compétitivité sur le marché international pour le moment.
- Les fonds ont commencé à racheter les positions vendeuses ; ils sont même en train de passer « long », c’est-à-dire acheteur net.
- En maïs, les consommateurs s’inquiètent maintenant de la situation soja qui pourrait faire perdre des surfaces en maïs aux USA, des fortes pertes de production en Argentine, des conséquences de retards de semis au Brésil sur la principale récolte (Safrina). Pour regagner des surfaces sur le soja, les prix du maïs vont devoir monter maintenant.
- Le CIC, une source de référence internationale, qui nous parlait de stocks de blé record dans le monde il y a encore deux mois, prend maintenant en compte la situation des stocks chinois et s’inquiète également pour la première fois du niveau des stocks des principaux exportateurs.
Deux autres points à surveiller :
L'Inde : le marché ne parle pas de l’Inde, mais nous pensons qu’il y a également maintenant de gros risques sur la production indienne de blé et que l’Inde devra de nouveau importer plus de 10 MT l’an prochain. Restez très prudent sur les déclarations du gouvernement indien, comme d’habitude.
La parité €/$ : pas beaucoup d’idées sur ce que va faire la parité €/$ ; quand on parle de hausse des taux aux USA, on est en droit de penser que le dollar va s’apprécier. Il a fait tout le contraire depuis un an et c’est ce qui a engendré une baisse des prix sur les blés cotés en euro depuis 8 mois. Prudence donc. Cela justifie d’autant les stratégies d’option, tant que les prix de ces produits financiers restent bon marché.
En conclusion :
Gardez en tête que les stocks des grands exportateurs sont comparables à ceux de 2007, comme nous vous l’avons montré il y a quelques mois. Nous pensons que les prochains jours vont être très importants sur les marchés et qu’un suivi de la météo nord, sud-américaine et indienne est impératif. Clairement, la psychologie du marché a changé.
Nous maintenons nos recommandations de tirer parti des excellentes bases actuelles, qui reflètent la demande sur les marchés des céréales, en vendant le physique et de rester exposé à la hausse en achetant des options qui restent très bon marché.
Les marchés sont bas. Ils ont en conséquence un fort potentiel de hausse. Notre opinion est de prendre des options sur des échéances proches (mai 18), pour investir moins dans cette période très compliquée pour les céréaliers et pour profiter de l’appréciation des spreads lors de mouvements haussiers. Il sera toujours possible en avril de reprendre des positions si les marchés ont monté ou s’ils nous semblent encore avoir un potentiel de hausse.
forbo17- Agrinaute hors compétition
- Age : 38
Re: cours céréales
Sur le Fob Rhin en 15 jours R17
Maïs +6 = 163
Blé petite hausse puis baisse = 153
Maïs +6 = 163
Blé petite hausse puis baisse = 153
BE68- Agrinaute hors compétition
- Age : 47
Re: cours céréales
On dirait Taméoforbo17 a écrit:Source ODA il y a 8 jours. No panic
Publié au début de la dégringolade, à 1 heure près.
Les marchés sont bas. Ils ont en conséquence un fort potentiel de hausse. .

Re: cours céréales
Oui ODA systématiquement haussier depuis quelques années, c'est agréable à lire mais hélas ça ne se concrétise pas souvent.
Boustrophedon- Agrinaute de bronze
- Age : 55
Re: cours céréales
ca baisse a donf ......
on va revenir tres vite au niveau d'avant la hausse .....
on va revenir tres vite au niveau d'avant la hausse .....
grabouille- Agrinaute hors compétition
- Age : 101
Re: cours céréales
Il y a bientôt 15€ de différence entre blé et maïs sur le fob Rhin alors que les fondamentaux n' ont pas changé.
Personne n'y comprend rien.
Blé R 17 152
Maïs R 17 166.
J'ai profité de cette bulle pour solder ma R 17 maïs avec un oeil sur R 18 maïs car ça chatouille bientôt le 170, valeur la plus haute jusqu'à aujourd'hui possible sur R17. ( fin juin 17).
Personne n'y comprend rien.
Blé R 17 152
Maïs R 17 166.
J'ai profité de cette bulle pour solder ma R 17 maïs avec un oeil sur R 18 maïs car ça chatouille bientôt le 170, valeur la plus haute jusqu'à aujourd'hui possible sur R17. ( fin juin 17).
BE68- Agrinaute hors compétition
- Age : 47
Re: cours céréales
Possible, mais 2/3 du maïs alsacien part en alimentation humaine.
BE68- Agrinaute hors compétition
- Age : 47
Re: cours céréales
Ici 10 € de moins pour le maïs 2017 et 2018BE68 a écrit:Il y a bientôt 15€ de différence entre blé et maïs sur le fob Rhin alors que les fondamentaux n' ont pas changé.
Personne n'y comprend rien.
Blé R 17 152
Maïs R 17 166.
J'ai profité de cette bulle pour solder ma R 17 maïs avec un oeil sur R 18 maïs car ça chatouille bientôt le 170, valeur la plus haute jusqu'à aujourd'hui possible sur R17. ( fin juin 17).

Pierre31- Agrinaute hors compétition
- Age : 49
Re: cours céréales
Bastien a écrit:c'est l'orge fourragere qui tire le maïs
Et l'orge fourragère est au tarif du blé .

lagaff3- Agrinaute hors compétition
- Age : 57
Re: cours céréales
grabouille a écrit:pas de cotations aujourd'hui ?![]()
Non, Euronext fermé aujourd'hui et lundi.
Chicago fermé aujourd'hui seulement
le ghis- Agrinaute hors compétition
- Age : 42
Re: cours céréales
Orge
Ce mardi le gouvernement chinois annonce la mise en place d’une taxe à l’importation sur le sorgho US à hauteur de 178.60 %. Cette mesure dissuasive, qui prendra effet ce mercredi 18 avril, devrait pousser les importateurs à se détourner du sorgho américain, au profit principalement de l’orge fourragère qui devrait donc voir l’appétit chinois de nouveau augmenter dans les semaines à venir.
Agritel 17/04/2018
Ce mardi le gouvernement chinois annonce la mise en place d’une taxe à l’importation sur le sorgho US à hauteur de 178.60 %. Cette mesure dissuasive, qui prendra effet ce mercredi 18 avril, devrait pousser les importateurs à se détourner du sorgho américain, au profit principalement de l’orge fourragère qui devrait donc voir l’appétit chinois de nouveau augmenter dans les semaines à venir.
Agritel 17/04/2018
Re: cours céréales
tu peux déjà faire une liste sur agriaffaires ...

kermitt- Agrinaute hors compétition
- Age : 55
Re: cours céréales
vivanden a écrit:Spéculation ? ça monte...
gros gros bordel en vue pour la fin de saison . la logistique ne suivra pas . vous avez les memes echos dans vos régions ?
Piet451- Agrinaute d'argent
Re: cours céréales
Depuis la début des grèves, on nous bassine que le fret ne fonctionne pas... vive la France quand on peut vendre on ne livre pas ...
vivanden- Agrinaute hors compétition
- Age : 37
Re: cours céréales
Jean80 a écrit:Ça bloque pour qui les usines d’aliments ou l’export ?
Le marché interieur et un peu exterieur. 1 train annulé c'est 40 camions mobilisés...
vivanden- Agrinaute hors compétition
- Age : 37
Re: cours céréales
Gauthier Maupu (le fils de Ben) donne son avis sur le marché.
zarouf- Agrinaute hors compétition
- Age : 60
Re: cours céréales
zarouf a écrit:Gauthier Maupu (le fils de Ben) donne son avis sur le marché.


pat51- Agrinaute hors compétition
- Age : 56
Re: cours céréales
Elle est bien son analyse (grosso-modo) ....
vivanden- Agrinaute hors compétition
- Age : 37
Re: cours céréales
ouais grosso modo quand y pleut pas y fait sec et inversement .
kermitt- Agrinaute hors compétition
- Age : 55
Re: cours céréales
Déjà une grosse baisse des stock attendue ?
Bizarre bizarre...
Bizarre bizarre...

vivanden- Agrinaute hors compétition
- Age : 37
Re: cours céréales
vivanden a écrit:Déjà une grosse baisse des stock attendue ?
Bizarre bizarre...![]()
rien de bizarre à ça
les grands de ce monde se sont mis d'accord pour maintenir les prix agricoles moyennement bas pour s'éviter les déstabilisations politiques à cause des flambées de prix dans les pays faibles importateurs .
kermitt- Agrinaute hors compétition
- Age : 55
Re: cours céréales
Kermitt : baisse des stocks, j'ai pas parlé de prix...
vivanden- Agrinaute hors compétition
- Age : 37
Re: cours céréales
non mais manipulation des chiffres pour maintenir des prix .
kermitt- Agrinaute hors compétition
- Age : 55
Re: cours céréales
une baisse des stocks aurait tendance à faire monter les prix, et inversement
........ et puis, il faut bien annoncer des variations si on veut que les spéculateurs gagnent un peu d'sous !
........ et puis, il faut bien annoncer des variations si on veut que les spéculateurs gagnent un peu d'sous !
ari21- Agrinaute d'or
- Age : 54
Re: cours céréales
Si ça peut prendre 20,30€ ça serait pas mal tout de même...
Jean80- Agrinaute d'argent
Re: cours céréales
Alors l'incident climatique (chez les autres) tant attendu et il enfin d'actualité ???
Source ODA :
Après les USA et la mer Noire il y a quelques semaines, les craintes climatiques se concentrent maintenant sur l’Australie où les prévisions n’annoncent toujours pas de précipitations dans les zones de production de blé et d’orge. En Europe, le climat allemand, plutôt sec, commence également à soulever des inquiétudes.
La multiplication des zones soumises à des risques climatiques a conduit les cours des céréales a évolué en nette hausse de part et d’autre de l’Atlantique. Le blé américain gagnait ainsi 3% en fin de séance européenne et Euronext clôture en hausse de 1,5%, revenant ainsi sur ses plus hauts d’octobre 2017 sur l’échéance septembre-18 et décembre-18.

Source ODA :
Après les USA et la mer Noire il y a quelques semaines, les craintes climatiques se concentrent maintenant sur l’Australie où les prévisions n’annoncent toujours pas de précipitations dans les zones de production de blé et d’orge. En Europe, le climat allemand, plutôt sec, commence également à soulever des inquiétudes.
La multiplication des zones soumises à des risques climatiques a conduit les cours des céréales a évolué en nette hausse de part et d’autre de l’Atlantique. Le blé américain gagnait ainsi 3% en fin de séance européenne et Euronext clôture en hausse de 1,5%, revenant ainsi sur ses plus hauts d’octobre 2017 sur l’échéance septembre-18 et décembre-18.
lagaff3- Agrinaute hors compétition
- Age : 57
Re: cours céréales
zarouf a écrit:Pourvu que ça dure .
On peut le souhaiter, mais cette hausse tiend beaucoup de l'affaiblissement de l'eur (1,18), ce qui a une limie et fait monter mécaniquement le prix des engrais et du fioul...
forbo17- Agrinaute hors compétition
- Age : 38
Re: cours céréales
les engrais d'accord ça influe vite sur la marge, mais le fioul ...
perso ça me dérange pas de voir le pétrole à 100 dollar le baril
perso ça me dérange pas de voir le pétrole à 100 dollar le baril
jack77- Agrinaute hors compétition
- Age : 58
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